Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 4 ans
Je m'appelle Cédric, je suis un jeune homme de 20 ans. Il y a maintenant un an, j'ai rencontré Jacques, un peu par hasard lors de mes entraînements à la piscine. Nouvellement arrivé dans la région, je n'avais pas encore d'amis. La rentrée à l'université me tardait. Jacques m'a pris sous son aile. Quelques semaines ont suffi pour que je vive avec lui, prétextant n'importe quoi avec mes parents, qui finalement n'ont pas fait d'histoire.
J'étais puceau. J'avais bien sûr joué avec des copains dans ma région d'origine à des comparaisons de sexes ou à se branler... mais avant Jacques, je n'avais pas connu d'hommes. De nature timide, je me suis laissé entraîner par Jacques dans une forme de soumission totale : épilé, tête rasée, circoncis... Jamais je n'aurais cru pouvoir accepter tout cela. Les dernières vacances et donc mes vingt ans, je les ai passées dans une école un peu spéciale où j'ai subi humiliation et soumission. J'ai aussi appris à conduire et j'ai eu droit à des études d'économie assez poussées.
Après cette école un peu spéciale, où j'ai passé l'été à la demande de Jacques, je suis revenu à la villa puis à l'appartement bordelais.
Le soir de mon retour, ce fut une longue retrouvaille avec mon maître. Il m'a autorisé à appeler ma famille pour donner de mes nouvelles. Ma mère, qui a pris l'appel était contente de m'entendre. Je lui ai raconté un peu n'importe quoi sur mes vacances. Elle m'a annoncé que j'avais reçu récemment une convocation pour passer les tests à la caserne. J'avais complètement oublié cela. Mais effectivement, j'avais obtenu un report pour suivre mes études, mais l'année de mes 20 ans je dois maintenant répondre à l'appel. C'est un coup de massue qui me tombe sur la tête. Le rendez-vous est prévu pour octobre prochain.
J'en parle à Jacques, qui me dit de ne pas m'inquiéter, qu'il fera son possible pour que je sois exempté de service militaire. Il connait suffisamment de monde. Néanmoins, je ne peux pas me soustraire aux deux jours de la convocation ! Je le supplie alors de me laisser les poils repousser.
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Il n'en est pas question ! tu ne vas pas casser tout ce travail pour deux jours !
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S'il te plait, Jacques, je vais avoir du mal à m'expliquer, s'il te plaît !
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Pas question ! Et si tu continues à faire ta fillette, je te mets la cage pour y aller !
Le sujet était donc clos. Je n'en parlais plus...
Pour moi, Jacques avait tout prévu : j'allais devenir son secrétaire particulier... Très particulier. Mais il restait une étape, il fallait que je passe le permis. Durant mon séjour au domaine, j'avais suivi des cours de code, quasiment chaque jour. J'étais prêt. Pour la conduite, j'avais utilisé un véhicule du domaine, mais sans sortir de l'espace du domaine. Jacques me dit donc que j'allais devoir très vite faire mes preuves en voiture. Mais en attendant, le lendemain de mon retour, je devais passer l'épreuve du code.
Le jour du code, je me lève tôt, comme à l'école. Je prépare le petit déjeuner, et exécute les quelques tâches ménagères habituelles. Je dois porter pour effectuer ces premières tâches un string et un tee shirt de footballer américain. En me regardant dans un miroir, je me trouvais vraiment ridicule. Quand Jacques se lève, il me palpe les fesses puis les couilles. Je bande dès qu'il me touche ! Quand il regarde ma bite il s'exclame :
- Profites-en, joli membre, tu vas bientôt retrouver ta prison !
Après mes corvées. Jacques me dit de me préparer. Je trouve sur mon lit les vêtements que je devrai porter : un tee shirt (à ma taille), un jean et des sandales. Comme sous-vêtements : juste une coquille de boxeur tenant grâce à un jock strap. Le jean est très serré. Il m'arrive juste aux chevilles et me fait un paquet très gonflé. Avant que je ne m'habille, Jacques me refixe une nouvelle cage. Il me passe un cockring en cuir, qu'il fixe relativement serré et qui maintient bite et couilles. Puis il insère ma bite dégonflée dans un tuyau courbé en acier. Il n'y a qu'un trou au bout. Ma bite tient entièrement dans ce tuyau et mon gland touche le bout. Il fixe le tout au cokring qu'il ferme avec un petit cadenas. Il teste si tout tient bien. Je me sens mal à l'aise. Jusque là ma cage était plus confortable, celle-la me comprime la bite. Je ne dis rien et je m'habille. Quand je suis prêt, Jacques me regarde. Une tape sur les fesses m'indique que je lui conviens.
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Je t'emmène. Attention, tu dois faire 40 ! Tous les points manquants seront punis par 10 coups ! Comme à l'école !
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Mais c'est 35 pour avoir le permis !
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Mais toi tu es capable de faire 40 ! Allez en route
Je monte près de lui dans la BMW. Le trajet n'est pas très long, mais je dois lui expliquer chaque panneau et chaque situation. Il n'a pas l'air mécontent.
Il me laisse à plusieurs mètres de la salle d'examen, ce qui m'oblige à faire le trajet à pieds. C'est très inconfortable de marcher avec cette coquille et ce jean un peu étroit. Les autres candidats remarquent ma tenue un peu bizarre mais ne font pas de remarques. Les yeux de plusieurs filles se posent sur mon entrejambes puis remontent pour voir ma réaction.
L'examen se déroule sans trop de problème. Le seul, c'est le résultat final : 38. J'ai donc fait deux fautes. Je sors de la salle. Jacques n'est pas là. Je me fais aborder par un mec d'environ 35 ans qui me tape les fesses et m'invite à le suivre. Je n'ose pas, prétextant que j'attends quelqu'un.
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Suis-moi, on doit retrouver Jacques. Je suis Benjamin, j'ai connu Jacques avant qu'il ne s'occupe de toi. Et aujourd'hui ça va être ta fête !
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Ma fête ? Pourquoi ?
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Ben mon cochon, t'as fait deux fautes quand même
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Comment tu sais ça ? et puis j'ai mon code !
On rejoint Jacques dans un bar un peu isolé, dans une rue déserte. Il y a deux clients attablés qui me regardent entrer avec des yeux qui ont l'air de me déshabiller. Jacques est un peu plus loin, assis à une table, un verre de vin blanc à la main.
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Il a eu 38 !
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Toutes mes félicitations, Cédric ! Bravo pour ton code... Reste la conduite, très bientôt !
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Merci Jacques
Je m'assieds, confiant après ces félicitations. Le patron du bar, un gros bonhomme moustachu nous demande ce que l'on veut boire. Jacques répond :
- Rien ! il a d'abord à s'acquitter d'une dette.
Je vois le sourire ironique de Benjamin, celui intéressé du patron du bar qui va fermer le bar et baisser les rideaux.
Jacques m'annonce alors que la punition aura lieu ici. Je le regarde, l'air interrogateur mais il ne faiblit pas et m'indique le déroulement de la punition :
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Tu as fait deux fautes, ce qui correspond à 20 coups. Mais 20 coups par personne présente ici !
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Hein ? mais tu avais dit 10 coups par faute...
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Ben oui, 10 coups par faute et par personne, ce qui fait 120 !
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Non, 100 ! vous êtes 5.
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Et avec toi, ça fait 6.
J'essaie de l'implorer, mais rien n'y fait. Jacques a décidé de m'humilier ici, avec des inconnus. Les deux clients nous ont rejoints. L'un d'eux qui s'appelle Robert est plutôt petit, bedonnant et sent la bière, il a des cheveux grisonnants et longs ce qui ne lui donne pas un air très glamour. Le deuxième est un peu plus grand, beaucoup plus mince mais à une mine qui me ferait peur si je le rencontrais seul. Lui est brun mais presque chauve. Ses yeux noirs me refroidissent ! Jacques leur présente 10 enveloppes. Chacun en prend une. Jacques lui, en prend deux. Il en reste 4 qu'il ouvre en m'annonçant que ce sont les corrections auxquelles j'ai échappées. Il y avait lanière à noeuds, matraque, fouet et journaux. Le reste j'allais bientôt le découvrir. Jacques installa deux chaises puis il me mit un collier avec des anneaux. Il me demanda d'enlever mes vêtements. J'hésitais un peu, mais ma pudeur était maintenant bien loin !
Pendant ce temps, le patron a sorti de son comptoir un tabouret haut sur lequel je dois me coucher. Je dois me pencher pour faire passer mes bras au-delà de l'assise du tabouret. Jacques m'attache alors chaque main au pied du tabouret puis il fait de même avec les chevilles. Il attache ensuite une corde au collier que je porte puis le fixe en passant sous l'assise du tabouret. Je ne peux plus bouger ni la tête ni les bras. Il m'attache enfin les jambes à chaque pied. Il me demande si ça va, ce à quoi je réponds que non. Mes jambes légèrement écartées doivent laisser visible mes couilles. Quant à ma bite emprisonnée, elle se trouve entre le tabouret et mon ventre. Chacun alors rit en lisant son papier. Jacques propose de commencer et de terminer. Pour les autres, le passage se tirera aux dés.
Pour débuter, Jacques m'annonce qu'il a tiré la fessée à mains nues. Ouf ! ce n'est pas le plus terrible. Il me claque les fesses, régulièrement, assez fort, mais je ne bronche pas. Je sens la chaleur monter, je pense que je dois être bien rouge. Les vingt coups terminés, il propose à chaque personne de lancer les dés. Le plus gros commencera. C'est le patron du bar qui a droit de s'occuper de moi. Il m'examine d'abord en me caressant les fesses, jusqu'aux couilles, ce qui me fait bander, enfin jusqu'aux limites de ma prison à bite !.
Il me caresse même la raie, enfonçant légèrement son doigt puis en le mettant sous mon nez puis dans ma bouche. Je regarde Jacques en lui montrant ma désapprobation mais Jacques ne réagit pas. Le patron a tiré la raquette de ping pong. Jacques la sort de son attaché case et le patron commence son office. Il tape très fort. Mes fesses se raidissent à chaque coup. Il n'hésite pas à viser au milieu ce qui a pour effet de me touche les couilles et ce qui me fait crier à chaque fois. Les vingt coups terminés je suis en sueur. Je demande à Jacques si je peux avoir à boire. Il le refuse. C'est au tour d'un des deux clients, le plus mince. Lui a tiré le martinet. Jacques lui donne le martinet. Il a un manche jaune et rouge et une quinzaine de lanières en cuir. Je le connais ce martinet, mais d'habitude je le reçois " vierge " de toute correction. Quand le premier coup tombe, je pousse un cri. J'ai l'impression d'avoir la peau déchirée. Le deuxième n'arrange rien. J'ai l'impression qu'il frappe au même endroit, j'ai le cul en feu, les fesses qui tremblent. Les autres coups sont désordonnés, tantôt sur le bas des cuisses, puis sur les reins... Chaque coup est un supplice que je ponctue par un cri de plus en plus fort. Benjamin me demande ne plus crier, mais c'est plus fort que moi. Enfin, il a terminé ! Jacques regarde mes fesses sans doute bien rouges.
- Ça va ! il va tenir, il en a vu d'autres. On va faire une petite mi-temps !
Ils me laissent dans ma position inconfortable et boivent entre eux. Benjamin m'amène une canette de bière mais la moitié part à terre. Il en profite pour me mettre mon tee shirt dans la bouche et le bloquer en me nouant le jean. Je peux à peine respirer ! Je l'implore du regard, mais rien à faire !
La séance reprend par le petit gros. Il vient d'abord me roter devant le nez. Une odeur désagréable que je garderai dans le nez ! puis il annonce qu'il a tiré la canne. J'ai donc droit à 20 coups de canne. Ce n'est pas le plus dur à supporter, mais comme ce n'est pas les premiers coups, ça reste très douloureux. Je n'en peux plus, mes larmes coulent maintenant et sont visibles, mais personne n'est attendri. Benjamin prend la suite. Lui a tiré la ceinture. Il prend donc la ceinture de son pantalon et la plie en deux et commence sa vingtaine de coups. Il frappe moyennement fort et à des endroits différents, du dos jusqu'aux mollets. Je remue mais je ne peux pas m'échapper.
Quand il a terminé, Jacques me présente le dernier instrument. Il s'agit d'une baguette assez fine. J'ai un très mauvais souvenir de cet instrument qui m'avait blessé à l'école. Jacques s'applique, fait siffler la baguette plusieurs fois. Il vient ensuite me caresser les fesses avec les mains, puis le premier coup tombe. J'ai l'impression de m'évanouir. Le coup me monte à la tête, ça résonne de partout. Il me caresse à nouveau, une véritable t o r t u r e . Je préfèrerai qu'il termine vite son ouvrage ! mais Jacques prend son temps. Il claque le deuxième coup plus bas atteignant mes couilles. Je bouge dans tous les sens. Benjamin me retient pour ne pas que les chaises tombent. Jacques m'envoie ensuite une dizaine de coups en suivant remontant vers les reins. Enfin, l'assistance compte à rebours 8, 7.... 3, 2 et 1. Enfin, c'en est terminé ! j'ai le dos et le cul en feu, j'ai très mal à la tête. Benjamin me défait les liens, je tombe quasiment à terre, dans la bière renversée.
- C'est bien Cédric, tu as été courageux ! tu as été digne de ton maître.
Même ces mots de Jacques ne me réconfortent pas. Je lui demande quelque chose parce que j'ai mal à la tête. Le patron du bar me fait boire quelque chose. Puis Jacques décide que je dois rejoindre la voiture. Je lui demande mes vêtements, mais il me dit que je suis trop enflammé pour supporter des vêtements. Le patron me met dehors et referme très vite la porte derrière moi. Me voilà maintenant à poil dans la rue. Heureusement, il n'y a personne, la nuit commence à tomber, et même si on n'est que début septembre, il commence à faire froid. Je regarde, mais je ne vois pas la voiture de Jacques. Je vais vers le coin de la rue à droite : rien. Je retourne de l'autre côté : rien ! Je frappe donc à la porte et demande où se trouve la voiture. Personne ne me répond. Je m'accroupis à la porte du bar, et je me mets à pleurer, recroqueviller sur moi. Quand la porte s'ouvre, je tombe en arrière. Je grelotte. Jacques m'apporte une couverture et me prend sur son dos.
Nous quittons le bar par une autre porte. Arrivé à la voiture, il me dépose dans le coffre. Benjamin et lui montent à l'avant. Je les entends discuter, un moment, puis je m'endors.
Quand je me réveille, le coffre est ouvert. J'ai très soif et très faim, mais j'ai surtout envie de pisser comme jamais ! je sors du coffre, mais une chaîne me retient. Je ne peux pas m'éloigner. Il fait nuit noire, je pense que nous sommes arrêtés sur une aire d'autoroute parce que de nombreux véhicules passent au loin. Il y a un peu plus bas des camions garés. Je vois Jacques et Benjamin revenir près de la voiture :
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Alors, en forme ?
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Non ! J'ai faim, soif et envie de pisser ! j'ai mal au dos, à la tête !
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Pauvre chou, me dit Benjamin en m'embrassant la bouche goulûment
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Tiens, me dit Jacques en me tendant une boîte de soda.
Je bois presqu'en une seule fois tout le contenu de la boîte. Puis Jacques me tend un vieux pantalon de jogging. Il est quasiment deux tailles sous la mienne et porte des boutons pression sur les côté. J'ai du mal à l'enfiler, mais j'y arrive. Par contre, les pressions sautent le long de mes cuisses. Il me tend aussi une veste de survêtement que j'enfile. Il m'emmène dans cette tenue aux lavabos. Pour pisser je suis obligé de m'accroupir. Jacques m'ordonne de laisser la porte ouverte. Il me regarde, ce qui me bloque un peu. Quand je commence à pisser, un routier passe devant nous :
- Elle est bien jolie cette grande coquette ! combien pour qu'elle me suce ?
Jacques ne répond pas, mais le routier insiste. Lorsque j'ai terminé, il me prend pas la chaîne que j'ai, attachée au collier du cou et m'attire vers le routier. Ce dernier me roule une pelle tout en me tâtant les fesses à travers le jogging.
- Mais elle n'a pas de petite culotte, la cochonne
Et il m'embrasse à nouveau, m'enfonçant sa langue dans la bouche.
Quand il baisse mon jogging, il voit les marques de la correction de l'après-midi
- On dirait qu'elle n'a pas été sage, la coquine !
Puis il ouvre sa braguette, m'oblige à le sucer. Sa bite enfle dans ma bouche. Lorsqu'elle est bien bandée, il tente de m'enculer, mais Jacques s'interpose. Il lui demande de mettre une capote. Je me sens rassuré. Le routier prétexte qu'il n'en a pas, mais Jacques lui en tend une et me demande de lui enfiler avec la bouche. Je m'applique donc à ce travail et me prépare à recevoir cette bite dans mon cul encore marqué. Le routier est assez brutal. Sa queue n'est pas très grosse, mais ce sont surtout ses mains qui s'attardent sur mes tétons qui me font mal. Heureusement il ne tarde pas à jouir. Jacques empoche quelques billets et nous retournons à la voiture. J'ai enfin le droit de me mettre sur le siège arrière. Benjamin monte près de moi et me demande de baisser le jogging. Il joue un instant avec ma cage et mes couilles. Ça me fait mal, parce que je suis excité. Il me lèche les couilles. Puis m'enfonce un doigt dans le cul, qu'il me fait ensuite lécher. Nous partageons un paquet de gâteaux puis Benjamin s'endort. Jacques conduit. Je lui demande où nous allons, il me dit qu'il a des affaires à régler en Belgique, que nous y serons dans la matinée. Je m'endors à nouveau.
Je suis réveillé par Benjamin qui fouille encore dans mon jogging. Il fait bien clair. Jacques nous annonce que nous arrivons à destination. Il a réservé une chambre dans un petit hôtel où je devrais l'attendre avec Benjamin.
L'hôtel est minable. L'hôtelier en me voyant entrer dans cet accoutrement demande à Jacques où il m'a trouvé. Jacques lui répond qu'il m'a récupéré sur la route et qu'il compte s'occuper de moi. On monte au deuxième pour découvrir une petite chambre avec juste un lit et une armoire. La salle de bain est au fond du couloir. C'est là que Benjamin m'emmène. Il est assez doux avec moi pour faire la toilette. Nous sommes maintenant à deux dans la baignoire. Il est plutôt bien foutu. Pas très musclé mais bien proportionné. On se savonne mutuellement, il bande très fort. Sa bite ressemble beaucoup à la mienne. Elle est plutôt bien dessinée et droite, ses bourses sont rondes comme les miennes. La grande différence vient des poils. Ses poils sont certes courts, mais il en a contrairement à moi. Il me demande de bien le nettoyer. Je m'applique sur sa bite et ses fesses. Il a l'air content. Il se sèche et me passe sa serviette. Pendant qu'il se rhabille, je me sèche. Je le vois prendre mes affaires. Je dois retourner dans la chambre, sans mes vêtements. Le patron nous croise mais ne fait pas de remarques.
Dans la chambre, je dois m'allonger sur le ventre. Benjamin m'enfonce doucement sa bite dans mon cul. Je lui dis que je veux qu'il mette une capote. Tout en m'embrassant, il enfile son préservatif et continue un va et vient dans mes entrailles. Il est plutôt caressant, ce qui me change des b r u t a l i t é s de la veille. Nous parlons ensuite de mon " éducation ". Il me dit qu'il a connu Jacques mais qu'il a refusé de vivre ce que moi je vivais. Mais il aime la situation et pense que l'on devrait bien s'entendre. Lui aussi a connu Jacques par hasard. Il était alors stagiaire dans l'une des filiales de Jacques. Quand Jacques a voulu passer au contrat, Benjamin s'est défilé. Il a terminé son stage et est resté en bon termes mais sans plus.
Jacques entre dans la chambre. Il semble satisfait de son rendez-vous. Il nous apporte des sandwiches et des vêtements propres pour moi. Les sandwiches terminés, Jacques s'occupe un peu de moi : il m'annonce qu'il m'a acheté un bijou. Je lui souris en guise de remerciement. Jacques m'allonge sur le lit, me libère de ma cage. Ma bite se développe doucement. Il la prend en bouche pendant que Benjamin lui ôte les vêtements. C'est maintenant à Benjamin de me sucer puis de s'empaler sur ma bite. Jamais je n'avais goûté à ça ! Pendant ce temps, Jacques est sur mon visage. Je dois prendre sa bite puis ses couilles dans ma bouche. Je ne peux plus me retenir, Benjamin le sens et se retire. Je lance ma semence de plusieurs jets abondants. Jacques en récupère et me le donne à boire, puis lui aussi se laisse aller dans ma bouche. Enfin Benjamin vient m'offrir sa bite que je prend en pleine bouche.
Jacques me demande de me nettoyer puis me remet ma cage. Il ouvre ensuite un paquet contenant un string en cuir, puis une autre boîte qu'il me laisse ouvrir. Je découvre le fameux bijou : un plug ! Jacques me l'enfonce dans le cul, doucement après m'avoir lubrifié. Puis il me demande de mettre le string. Le plug est maintenu dans mon cul. Il me demande de marcher. Ça me fait bizarre, notamment au ventre. J'ai déjà eu des godes mais jamais je n'avais dû marcher avec quelque chose d'aussi important dans le cul. Il me tend les vêtements : une chemise plutôt classe et un costume, des chaussettes et des chaussures de ville. Il me regarde sous toutes les coutures et semble satisfait.
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Parfait, ce soir tu seras l'attraction !
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L'attraction ?
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Oui, nous allons à une fête !
Et sur ces mots, il me donne une claque sur le cul, ce qui a pour effet de me faire réagir. Nous quittons l'hôtel, j'ai un peu de mal à marcher. En fait, ça me prend dans le ventre et m'empêche d'avoir une marche normale. En plus, ce plug doit faire une marque sur le pantalon. Jacques me fait monter derrière alors que Benjamin s'installe près de lui. Le fait de s'assoir avec ce machin dans le cul me fait un drôle d'effet. A chaque secousse de la voiture, je sens le plug qui remue en moi. Heureusement, le chemin n'est pas très long. Nous arrivons dans un immeuble plutôt cossu. A l'entrée, un jeune homme nous accueille, il dirige Jacques et Benjamin vers une porte et m'emmène à un autre endroit : les cuisines. Il y a là 4 jeunes garçons d'à peu près mon âge et ayant les mêmes vêtements. Ils s'affairent à préparer des plateaux et me demandent d'en faire autant. Il y aussi un homme plus âgé qui semble être le maître de la cuisine. Il m'accueille sèchement :
- Numéro 4, ici ! Tu prépares les plateaux des coupes. Tu ne remplis pas les coupes pour le moment. Je te dirai ! Dépêche-toi ! tu es déjà en retard !
Et il me claque les fesses. Je prépare un plateau sur lequel je dispose une dizaine de coupes.
- Tu dois en faire tenir 15 !
Je resserre donc les coupes pour qu'elles tiennent à 15. Le maître me donne des bouteilles de champagne et je dois remplir les coupes et aller dans la pièce voisine les présenter aux invités.
La pièce est assez grande, elle est meubles par quelques canapés et une table centrale avec une vingtaine de chaises. Il y a là 15 hommes qui discutent, dont Jacques et Benjamin. La pièce est entourée de miroirs ce qui donne l'impression de monde. Sur la table, différents instruments sont posés. Je reconnais une cravache, des godes divers, des chaines, des menottes, des cagoules... Je m'avance vers le groupe en tenant mon plateau à deux mains. Le chef de cuisine qui m'observe me lance :
- D'une seule main le plateau !
Je m'eff o r c e de le tenir d'une main. Je n'ai pas l'habitude et j'ai peur de faire tomber les coupes. Mais bien vite, le plateau se vide. Chacun est poli, il y en a même qui me font une caresse sur la figure ou sur les fesses. Quand le plateau est vide, je retourne en cuisine. Le maître, qui s'appelle Benoît, me donne 15 autres coupes et me demande de repasser parmi les invités. Pendant ce temps, les autres garçons passent également parmi les invités avec des petits fours. Lorsque j'ai terminé de remplir les coupes, je vois rentrer l'un des garçons. Sa braguette est ouverte et son sexe est sorti. Il bande légèrement ce qui ne semble pas choquer Benoît. Je retourne en salle avec mon plateau. Je remarque qu'un autre garçon est torse nu. Il est plutôt musclé et possède un anneau au sein gauche. Il continue à passer avec son plateau. Ses vêtements ont été jetés sur l'un des canapés. Quand je passe l'un des invités me prend le plateau et un autre me déshabille. Il m'enlève la veste et la chemise. Je regarde Jacques, qui me fait comprendre d'un signe que je dois me laisser faire. Le mec qui m'a enlevé la chemise me caresse la poitrine et me donne un coup dans le ventre.
Ne m'y attendant pas, je marque un mouvement de recul et je tombe dans les bras d'un autre qui me dégrafe le pantalon. Je dois l'ôter et me retrouve en string et chaussettes. Je reprends mon plateau avec les coupes vides et je retourne en cuisine. Les 3 autres sont là, deux sont torse nu et un est encore habillé mais n'a plus la veste ni les chaussures. Ils remarquent évidemment mon plug. Personne ne fait de réflexion mais je vois dans leur regard qu'ils sont intrigués. Je suis maintenant chargé des petits fours pendant qu'un mec torse nu est chargé du champagne. Je retourne en salle. L'un des invités passe sa main dans mon slip et remarque que j'ai une cage. Il me parle à l'oreille :
- Qui est ton maître ? tu ne veux pas venir avec moi ?
Je ne réponds pas mais il insiste. Je vois Jacques s'approcher de nous
-
Alors, Henri, tu t'occupes de mon protégé ?
-
Ah, Jacques, il est à toi ? Tu lui retires son instrument, qu'on juge la bête ?
-
Toujours intéressé par les queues à ce que je vois
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Toujours ! Regardez messieurs, Jacques nous amène un athlète et nous en cache l'essentiel.
Henri me retire le plateau des mains, m'enlève le string et m'oblige à monter sur la table. Je dois être rouge de honte. En montant sur la table, le plug tombe. L'un des invités le récupère et le lèche. Henri montre ma cage à toute l'assistance et insiste auprès de Jacques pour qu'il me la retire. Jacques s'approche de moi et me retire l'objet. Il me laisse l'anneau. Henri me caresse immédiatement la queue. Evidemment, je bande très vite. Il siffle en me flattant. Je dois redescendre de la table et je suis attaché, assis sur une chaise. Les pieds sont retenus par des bandes adhésives, les mains sont menottées dans le dos. On me met une cagoule qui ne laisse qu'un trou au niveau de la bouche et du nez. Je sens qu'on me passe une ceinture autour de la taille pour bien me maintenir sur la chaise. Quelqu'un appelle les autres serveurs. Ils doivent me faire goûter leur bite pendant une minute.
- Damien, tu es le premier, Claude le deuxième et Franck le dernier. Et toi, Cédric, goûte bien parce qu'après tu devras les reconnaître sinon, un gage !
Je suce les trois bites les unes après les autres. Elles ont effectivement une taille et un goût un peu différent. J'essaie de me remémorer l'ordre de passage. Quand les trois sont passés, l'un des invités vient me sucer la bite. Je sens que ce n'est pas Jacques. Il s'arrête avant que je ne jouisse, puis me met une grosse claque dans la figure :
- Tu as failli jouir, salope !
il me laisse là un moment. Puis l'un des garçons vient remettre sa bite dans la bouche. Je dois donner le prénom : " Claude ". Ouf, je ne me suis pas trompé. On me laisse encore un moment, pendant lequel on me fait manger des petits fours et boire du champagne. Puis une autre bite vient se glisser dans ma bouche. Je ne reconnais pas le goût, sans doute à cause de ce que j'ai mangé... Je lance un nom " Damien ".
- Non ! c'était encore Claude. Pas de chance, Cédric.
Je les entends décider du gage : 5 coups de cravache sur les couilles et la bite. Je tremble d'avance en entendant la punition. J'essaie de resserrer les jambes, mais je ne peux pas.
2 - Les 3 jours à l'armée
Dès le premier coup sur les couilles, je hurle. Le deuxième me laisse sans respiration, au troisième je m'évanouis. J'entends au loin un " Arrêtez ! " puis je sens que l'on me détache. Je m'écroule sur le sol, quelqu'un me prend sur son dos... Quand je me réveille, je suis revenu à l'hôtel, je suis allongé sur le lit, caressé par Jacques !
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Alors ? c'était trop ? pourtant je croyais qu'à l'école on t'avait endurci !
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Qu'est-ce qui est arrivé ?
Je me soulève, je suis encore nu mais avec une couverture sur moi...
- Tu as dû faire un malaise ! tu as dormi... presque 8 heures d'affilé !
J'embrasse Jacques tendrement, je le remercie de s'occuper de moi... puis il m'annonce que l'on est en retard et que l'on prend l'avion pour retourner à Bordeaux. On doit être prêt très vite. Il me demande de m'habiller. J'ai juste le temps de prendre une douche et je m'habille plutôt traditionnellement cette fois : jean, tee shirt, basket et un blouson pour la route !
Arrivé à Bordeaux, j'apprends que je dois me présenter à Cambrai pour effectuer la visite d'incorporation militaire. Cambrai correspond au lieu d'incorporation de mon ancien domicile. Jacques semble contrarié. La date est au choix mais je dois répondre très vite. On choisit début octobre, mais Jacques me dit qu'il ne connait personne à Cambrai ! Je suis très inquiet... Je voudrais pouvoir être comme les autres mecs qui seront présents mais Jacques a décidé que je ferai la séance d'épilation comme prévu ! et la séance tombe 3 jours avant...
En attendant, nous sommes mi'septembre 1990 et je prends des cours de conduite. Ça se passe plutôt bien ! Je passerai le permis dès mon retour de Cambrai. Les jours passent, je me morfonds alors que Jacques semble content. Comme il ne peut pas me conduire dans le Nord, je devrai prendre le train... On se renseigne, je suis obligé de passer une nuit à Lille avant de rejoindre Cambrai... Le jour du départ arrive. Je me prépare un sac à dos avec de quoi me changer sur place. Jacques le vide et le refait : 4 slips au lieu des caleçons que j'avais préparés, 4 polos et un pull que j'avais oublié. Il me met en plus un jean et enfin 4 paires de chaussettes. Le tout passe-partout ! Une heure avant le départ, il m'enlève le cokring que je porte quasiment en permanence. On prépare les différents papiers, un petit coup de fil à ma mère et direction la gare... je suis assez ému en disant au revoir à Jacques. Je vais voyager seul, ce qui ne m'est jamais arrivé. Un dernier bisou discret genre père fils et je monte dans le train.
Le voyage se passe... longuement ! j'arrive à Lille le soir. Il y fait noir et froid ! je n'ai plus l'habitude, même si j'ai grandi dans la région... je repère le train pour le lendemain et je vais à l'hôtel qui m'a été réservé. Une chambre très simple pas loin de la gare.
Le lendemain, je prends le train direction Cambrai. Arrivé sur place, un bus de l'armée attend les différents jeunes qui arrivent. On est tout de suite mis à l'aise... " Allez les bleus bites ! on monte ! "
Dans le bus, enfin dans le transport en commun qui nous emmène, tout le monde est calme. Visiblement aucun ne se connait. Le trajet ne dure pas très longtemps. Nous arrivons à la caserne. Un soldat nous guide vers la " bagagerie " où un autre soldat prend notre sac et nous donne un numéro : une consigne en quelque sorte. C'est d'ailleurs sans ménagement qu'il jette les sacs vers le fond d'une pièce. Ensuite nous attendons tous dans une pièce. D'autres gars arrivent. Il y en a vraiment de tous les genres : du frêle timide au gros baraqué, du poilu à l'imberbe du cheveu court, comme moi à celui qui se paie une touffe sur la tête. On se regarde, on s'examine ! Quand tout à coup je vois apparaître Loïc, un ancien copain de lycée ! Il ne semble pas me reconnaître tout de suite, mais vient s'installer près de moi
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J'ai l'impression de te connaître... tu s'rais pas Emeric ? ou Frédéric ?
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Non, je suis Cédric...
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C'est ça Cédric ! ça fait un bail !
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Presque deux ans maintenant ! j'ai déménagé dans le sud ouest.
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Pourquoi t'es là ? ... J'suis con ! comme moi !
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Ouais... j'aurais préféré resté à Bordeaux !
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Dis-donc, t'as changé ! tu t'es rasé la tête ? Déjà soldat ?
Et il se met à rire. On échange quelques banalités... Il y a bien une heure que l'on est là en train d'attendre... Plusieurs soldats entrent dans la pièce. L'un d'eux commence l'appel. Les noms appelés doivent le suivre. Je ne fais pas parti du premier lot, Loïc non plus. On est appelé avec le troisième bidasse. Nous sommes une vingtaine à le suivre. Il nous annonce le planning : fin de matinée : tests, autres tests, demain matin : visite médicale et entretien.
Nous arrivons dans la salle des tests. On est une bonne cinquantaine à être présent. Un cahier nous est remis et on répond à des questions, la plupart très idiote, même si j'entends des soufflements désespérés... J'ai fini assez rapidement. Mais le temps est fixé pour tout le monde. A la fin des tests, on part à la cantine. Un repas quelconque nous est servi. Le bidasse nous dit que c'est comme ça tous les jours. On a droit à une pause. Loïc en profite pour me parler de sa vie banale. Il suit des études de droit ! Je fais celui qui m'intéresse. Il me demande si je suis toujours nageur, si j'ai une copine etc etc... Je lui avoue que je suis homosexuel et que les copines, c'est plutôt des copains. Il semble étonné mais continue de m'interroger sur ce que je fais. Je finis par lui dire que je vis avec un homme. Il semble de plus en plus intéressé par ce que je lui raconte. Je le vois même se toucher la bite.
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Et toi ? toujours chez tes parents ?
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Oui, mais je t'envie ! être libre ! baiser tous les jours !
S'il savait !
On se dirige vers la deuxième partie des tests puis nous devons passer d'autres tests plus médicaux : vue, ouïe et souffle. Il est passé 18 h quand on a terminé la séance... ça me rappelle le domaine où nous devions attendre que chacun ait fini pour poursuivre...
Le bidasse annonce ensuite ceux qui ont été sélectionnés pour passer le test du morse. J'en fais partie, tout comme Loïc. Lui semble content !
On retourne à la cantine pour le repas du soir, puis à la bagagerie pour récupérer notre sac. Le bidasse nous emmène ensuite dans la pièce qui sera notre chambre. Dix lits superposés. Loïc me propose de se mettre ensemble. Pas de problème pour moi. Il prend le lit du haut. On partage l'armoire enfin, le placard pour y ranger le sac. Le bidasse nous annonce qu'il y a un film qui démarrera à 20h30 sinon une salle télé, sinon ce qu'on veut. A 22h30 extinction des feux et à 5h30 lever. Ceux qui veulent prendre une douche peuvent le faire mais avant 20h30. Visiblement personne n'est volontaire pour la douche.
Loïc s'intéresse de plus en plus à ma vie. Il me pose un tas de questions sur mes relations, comment ça se passe ? Je lui demande s'il n'est pas lui aussi homo ? Mais il semble démentir malgré son intérêt. On retourne à la chambre. Il y a déjà quelques mecs qui mettent un pyjama. " m e r d e , je me dis, j'ai pas pris de pyjama... " Je me mets en slip pour aller dans le lit. Loïc remarque que je suis éplié sur les jambes.
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Pour la natation, je suppose ?
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Oui, entre autres...
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Entre autres ?
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Mon mec aime que je sois lisse
On parle doucement pour ne pas éveiller les soupçons, mais un autre mec plus macho, semble remarquer ma pilosité ou plutôt ma non pilosité
- Eh, la demoiselle ? elle se fait épiler ou raser ?
Je ne réponds pas. Je suis dans le lit et j'essaie de m'endormir. Il est 22h30, il fait noir, je sens quelqu'un qui vient près de moi et qui me demande si je dors. C'est Loïc. Il veut que je lui suce la bite.
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Avec toutes ces histoires, j'ai la gaule ! tu m'aides ?
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T'es con ? c'est pas parce que je suis homo que je saute sur tout ce qui bouge !
Il me met sa bite sous le nez. Elle ne sent pas très bon mais à une bonne dimension. Il me f o r c e la bouche. Je cède. Je le suce tout en le branlant, en espérant qu'il se laisse aller très vite. Effectivement, il ne lui faut pas longtemps pour éjaculer au fond de ma gorge. Je n'ai pas le choix, j'avale. Il vient me remercier à l'oreille et remonte dans son lit.
Comme prévu à 5h30, c'est le lever. Je bande quand je me lève, comme la plupart des mecs dans la chambrée. Les commentaires vont bon train sur les calibres des uns et des autres. L'un des mecs se lève et se balade à poil dans la chambre. Il exhibe un beau membre bien tendu et bien décalotté. En fait, il va comme ça au chiotte, derrière la chambre. Je mets un pantalon pour y aller moi aussi. Je le vois se branler.
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Ça fait du bien le matin ! t'as jamais essayé ?
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Oh que si ! souvent, mais pas aujourd'hui ! Bonne branle mec !
Le bidasse nous amène à la douche. Il y a des petites cabines avec la douche derrière. On doit se mettre à deux par cabine parce qu'il n'y a pas assez de douches en fonction. Tout naturellement Loïc me colle. On se déshabille puis on attend que la douche soit activée. Je vois Loïc bander en me voyant nu.
- Pas mal, le sexe rasé ! c'est excitant
Puis il prend ma bite en mains... Il me titille le gland et bien évidemment, je bande ! Il se met à me branler... j'en fais de même avec lui.
Le bidasse annonce " Cinq minutes pour le savon, 3 minutes pour le rinçage, 5 minutes pour le rhabillage ! je vous attends donc dans moins d'un quart d'heure "
Puis il lance la douche. Loïc continue à me branler. J'éjacule sur lui. On se lave et on se rhabille sans reparler de ça.
Petit déjeuner, puis test de morse qui ne dure pas très longtemps... On est peu nombreux, mais c'est très difficile de se concentrer. Il est environ 9h30, nous redéposons le bagage à l'entrée puis nous allons vers la visite médicale.
Plusieurs soldats nous attendent. Nous sommes 3 groupes de 20 à attendre. On nous fait rentrer dans une grande pièce qui est le vestiaire.
Un bidasse gueule : " Tout le monde en slip ! et rien d'autre "
On s'exécute. Malgré la douche matinale, des odeurs subsistent... Comme dans la chambrée d'ailleurs. On dispose chacun d'une patère et d'un morceau de banc. LoÏc se met près de moi, de l'autre côté un mec plutôt bien foutu se met en caleçon. Sa bite dépasse un peu de l'ouverture. Je regarde, il me fait un clin d'oeil et remet son engin dans le caleçon. On n'est pas très nombreux à avoir un slip. Le mien est plutôt bien échancré sur les côtés, il a une large ceinture marquée DIM. Loïc est aussi en caleçon à fleurs... assez ridicule d'ailleurs. On doit se mettre en file indienne puis on s'avance dans une autre pièce : poids, mesure... on nous remet à chacun un feuillet que l'on devra remettre au médecin. Puis c'est l'attente dans un couloir face à des portes. On est assis sur un banc, serrés les uns contre les autres. Les derniers arrivés restent debout. Le mec en caleçon de tout à l'heure s'est mis à côté de moi et me donne des coups de genoux. Je sens ma bite qui va gonfler... J'ai beau me concentrer pour penser à autre chose, je bande ! il semble content de lui et me chuchote à l'oreille " A la sortie, une petite pipe, ça te dit ? " je le regarde, il est plutôt mignon. " on verra ".
La visite dure environ une vingtaine de minutes par gars. Je suis enfin appelé à entrer dans une pièce. Le mec avant moi est en train de remettre son caleçon puis prend le dossier remis par le médecin. Le médecin dit, sans me regarder, " à poil et approche toi ". je défais mon slip. Ma bite est un peu moins raide mais bandouille encore. Le mec sort en me donnant un coup de coude : " ben alors pas encore de poils ? " et il se fout à rire.
Le médecin pose enfin les yeux sur moi.
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Ah ! nous avons à faire à un original !
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C'est pour la natation, m'sieur
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Un sportif alors ? c'est bien ça !
Puis il me pose quelques questions sur ma vie, mes habitudes, ma vie sexuelle... il me propose de faire le test sida... je ne comprends pas trop pourquoi mais j'accepte. Il me dit que je devrai me rendre à l'hôpital militaire de Lille parce qu'on m'a détecté un défaut dans les oreilles. Je fais l'étonné et je lui dis que je n'habite plus la région. Il regarde une liste puis m'annonce que je pourrai aller à Villenave d'Ornon, près de Bordeaux.
Il me demande de m'allonger sur une table d'auscultation et me palpe un peu partout. Ma bite se dresse quand il touche mon pubis. Il remarque le tatouage et m'interroge dessus. Je lui indique alors que je suis gay et que j'ai fait faire ce tatouage pour m'amuser. Il le caresse puis prend ma bite en main pour la palper, elle aussi. Une petite claque dessus et il me demande de me mettre à quatre pattes sur la table. Il m'enfonce alors un doigt dans le cul, sans ménagement. Je pousse un cri un peu étouffé.
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Tu devrais avoir l'habitude !
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Pas par surprise !
Il rit, me claque les fesses et me dit de m'assoir au bureau. Il m'explique un tas de choses sur les risques sexuels puis appelle le suivant. Je remets mon slip pendant que l'autre l'ôte, prend mon dossier et retourne vers le vestiaire. Un bidasse s'approche de moi et me questionne sur la suite :
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Alors, p'tit mec ? t'es bon pour le service ?
-
Je dois aller à l'hôpital militaire pour des compléments...
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Ah ! comme moi alors ! tu verras, on s'emm e r d e à plein temps !
Puis il me laisse me rhabiller. Je lui demande où je dois aller. Il me dirige vers le bureau d'un capitaine qui va me recevoir.
Encore l'attente, puis on m'appelle. J'entre dans un bureau et là nouvel interrogatoire sur ma vie plutôt professionnelle cette fois. J'essaie d'arranger un peu l'histoire de ma vie pour qu'elle paraisse plus commune. Il m'annonce que j'ai bien réussi tous les tests et que je peux choisir mon lieu d'incorporation. Il me propose trois destinations : Allemagne, Normandie, Sud-ouest. Sans hésiter je lui réponds Sud-Ouest. Il m'indique ensuite que je devrais me présenter à l'hôpital militaire dans les quinze jours qui suivent. Il prend son téléphone et appelle celui de Bordeaux. Le rendez-vous est fixé pour le lundi suivant. On est mercredi... ça me laisse peu de temps. L'entretien a duré quelques minutes, je le remercie et quitte la pièce. Je récupère mon sac et sors de la caserne. Un groupe de mecs est en train de parler de leur incorporation. L'un d'eux m'interpelle
-
Tu vas où ?
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Bordeaux...
-
Bordeaux ? mais c'est loin. Moi je vais à Rouen...
Ils me laissent. C'est alors que LoÏc sort à son tour. Il me rejoint directement :
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je suis exempté ! ouf ! un an de gagné !
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moi je dois faire des examens complémentaires
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t'es malade ?
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non, mais peut être un problème à l'oreille...
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tu fais quoi maintenant ?
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je reprends le train pour Lille et pour Bordeaux, demain
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tu passes la nuit où ?
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à l'hôtlel bien sûr !
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viens chez moi, j'habite près de Lille... je t'amènerai à la gare demain !
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mon train est tôt !
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pas grave, allez viens !
Nous nous dirigeons à pieds vers la gare de Cambrai. On attend un peu pour le tain puis nous arrivons à Lille. Je suis Loïc qui annonce à sa mère que je vais loger là ce soir...
Sa mère ne semble pas contrariée. La maison est plutôt grande mais je devrai partager la chambre de Loïc. On est en fin d'après-midi, je lui montre mon ticket de train pour le lendemain et il s'organise. Son père m'amènera à la gare de Lille, sans problème. On passe à table, les questions sont nombreuses sur ma vie. J'essaie d'esquiver tout ce qui touche à ma vie personnelle, mais Loïc annonce que je suis gay. Alors sa mère me pose encore tout un tas de questions très personnelles. Je rougis et ne réponds qu'à moitié. C'est le père de Loïc qui clos la conversation. On monte dans la chambre, je vois la mère de Loïc lui faire des recommandations.
Loïc me montre la salle de bains puis il déploie un lit d'appoint. Sa chambre ressemble à celle d'un ado avec des posters de footballers sur les murs. Il se met à poil et se glisse dans son lit. Je garde mon slip pour et je m'allonge à mon tour.
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Tu dors pas à poil ? je croyais que les pd dormaient à poil
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Je crois que tu te fais des idées sur les comportements des uns et des autres...
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J'ai envie que tu me suces, comme hier !
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T'es con !
Il sort de son lit, rabat la couette et se met sur moi. Je sens son cul sur ma bite, qui grossit aussitôt
- Tu vois, je savais que tu en avais envie !
Il me tient les bras et approche sa bite encore molle de ma bouche
- Allez, ouvre ! et gobe...
Je serre les dents pour ne pas lui donner satisfaction. Il m'envoie une gifle. Je fais l'air étonné et il m'en donne une de l'autre côté.
-
Hey ! qu'est-ce que tu fous ?
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Tu me suces oui ou m e r d e ?
Et pendant que je parle, il m'enfonce son membre dans la bouche. J'en ai envie de vomir tellement il me l'enfonce. Il se branle dans ma bouche. Il me lâche enfin les mains, j'en profite pour lui tenir les fesses et les caresser. Ça al'air de lui faire de l'effet parce qu'il décharge rapidement. Je laisse filer le sperme par la bouche. Il me le remet avec sa queue et m'oblige à tout avaler. Je lui demande de me branler mais il refuse. Il retourne dans son lit. Je vais dans la salle de bain pour me soulager, étant très excité. La nuit se passe. Le matin, très tôt, je retrouve LoÏc qui exhibe sa queue bien raide :
-
Dis-donc ! tu me fous la gaule ! tu devrais rester quelques jours ici...
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T'es con ! et ta copine ?
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En fait, j'en n'ai pas ! et ça fait un moment... j'commence à me sentir un peu seul... avec ma main !
Et il se met à rire. Son père entre dans la chambre
- Debout les jeunes ! il est l'heure. Alors Loïc ? c'est comme ça qu'on se tient quand on a des invités ?
Loïc tente de cacher son sexe, mais il est trop tard.
Douche, petit déjeuner et direction la gare. Loïc me laisse son numéro de portable. Je lui dis que je n'en ai pas mais que j'essaierai de l'appeler... et qui sait de l'inviter à Bordeaux !
Le soir, j'arrive à Bordeaux. Jacques est à la gare... Je lui raconte mon séjour dans le Nord, en évitant les détails qui pourraient le fâcher. Quand il apprend que je dois aller à l'hôpital militaire, il semble satisfait :
- Ah ! là je connais du monde ! tu vas éviter l'armée, mon p'tit gars !
3- L'hôpital militaire
Les quelques jours qui me séparent de mon retour de Cambrai et de ma visite à l'hôpital sont passés très vite ! Quelques leçons de conduite, quelques cours par correspondance imposés par Jacques et deux soirées qui ont laissé des marques sur les fesses. C'est donc avec les fesses marquées que je me présente à l'hôpital militaire pour des examens complémentaires.
Jacques a pris contact avec le responsable. Il s'est entretenu longuement avec lui et lorsqu'il m'accompagne à l'hôpital, ce lundi matin, c'est en me rassurant qu'il me laisse. Je suis conduit dans une chambre où nous sommes quatre. 2 mecs sont là après blessures lors d'entrainement, un troisième est un futur appelé, comme moi. On fait connaissance puis on discute de choses et d'autres. La matinée se passe sans qu'on ne voie personne.
Ce n'est qu'en début d'après-midi, après un repas léger que je suis emmené dans une pièce où une cabine trône dans un coin. Je dois y entrer et mettre un casque sur les oreilles. Je dois appuyer sur un bouton à chaque fois que j'entends un son. C'est facile, mais ça dure longtemps, à mon goût. Presque deux heures après, je suis ramené dans la chambre où je me retrouve seul. Je m'allonge sur le lit et j'attends. Quand Julien revient il me dit qu'il est bon pour le service ! il ira à Pau. Il semble content. Il fait son sac me salue et quitte la chambre. C'est maintenant le médecin qui vient me voir et me dit qu'il me garde pour la nuit. J'aurais des prises de s a n g à faire le lendemain matin.
-
Mais c'était pas prévu ! je n'ai rien emmené...
-
Pas grave. Tu laisses tes affaires, on te prête une chemise de nuit.
-
Mais... on m'attend ! comment je préviens ?
-
C'est Jacques ? il est prévenu
-
Vous connaissez Jacques ?
-
Oui, très bien. Tu es son boy n'est-ce-pas ?
-
Son boy ? c'est-à-dire ?
Le médecin se met à rire. Il me tend une chemise d'hôpital qu'il me demande d'enfiler. Je ne dois pas quitter la chambre. Il attend que je la mette et emmène mes vêtements. Je suis à poil sous la chemise, ouverte derrière. Je me remets sur le lit. Quand les deux autres reviennent ils se marrent en me voyant
- Eh bien ! on a un compagnon de nuit... et plutôt bien foutu !
Ils s'approchent de moi, l'un d'eux me tient pendant que l'autre soulève la chemise de nuit.
- En plus, il a la chatte toute nue !
Ils me retournent et voient mes fesses marquées
-
Elle a pris du bâton, la coquine !
-
Laissez-moi tranquille
-
T'aimes pas ça
Et tout en parlant, il me plaque sa bouche contre mes lèvres. J'essaie de me détacher mais ils sont deux plutôt costauds. Heureusement, le médecin revient. Ils se mettent chacun sur leur lit. Le médecin me demande de le suivre.
Je traverse un long couloir, le cul à l'air ! J'arrive dans une sorte de salle de bain avec une grande baignoire au centre, deux douches sur le mur et face aux douches, deux lavabos. La baignoire est pleine
- Entre dans la baignoire !
Je vais pour fermer la porte, mais il m'en empêche. Je retire la chemise de nuit et plonge un pied dans la baignoire. L'eau est juste tiède. Je m'eff o r c e d'y entrer le reste du corps, tout en grelottant. Je lui demande ce qu'il veut en me faisant prendre un bain.
- Rien de particulier, Cédric ! juste que tu sois propre !
Et il se met à rire
- En fait, je connais bien Jacques. Il m'a dit que je pouvais m'occuper de toi comme bon me semble ! et c'est ce que je vais faire...
Je vois alors deux mecs entrer dans la pièce. Ils se déshabillent sans honte et vont vers les douches. Ils saluent en passant le médecin et ne font même pas attention à moi. Je les vois se laver, en se paluchant le sexe. Ça me fait bien sûr de l'effet et je sens mon sexe grossir, malgré l'eau pas très chaude. Quand ils se rhabillent, le médecin me demande de sortir de l'eau et de le suivre. Il me tend une serviette qui me permet de rester quelque peu pudique ! Je le suis dans son bureau qu'il ferme à clefs. Il me demande alors de m'allonger sur ses genoux. Il me coince la bite entre les jambes et commence à me fesser. Doucement d'abord, puis les coups sont de plus en plus forts. J'essaie de me retenir de crier, mais au bout d'un moment, je n'en peux plus et je lui demande d'arrêter. Il continue, malgré mes jambes qui s'agitent et mes mains qui veulent couvrir mes fesses. Il s'arrête enfin et me demande de me mettre à genoux, au coin, les mains sur la tête. Quand j'ai pris la position, il m'immobilise les mains en les menottant dans le dos. Il me met un sac noir sur la tête. Je ne vois plus ce qui ce passe. Il me demande d'attendre sans bouger. C'est ce que je fais, je n'ai pas trop le choix ! je ne sais pas exactement combien de temps j'ai attendu, mais j'avais très mal aux genoux et je commençais à avoir des crampes quand il est venu me relever. il m'a alors allonger sur son bureau et m'a enculer. Puis quand il a eu fini, il a retiré les menottes, a enlevé le sac et m'a lancé un caleçon kaki
- Tiens, ta tenue pour la nuit. Demain, lever à 6h, tu viens ici ! Maintenant, dans ta chambre !
Je retourne à la chambre où les deux autres sont en train de discuter. Quand ils me voient entrer ils plaisantent sur moi, ouvertement, à la limite de l'insulte. Je les toise un peu, mais pas trop quand même... Je me mets dans le lit, mais ils viennent vers moi. L'un d'eux me tient fermement pendant que l'autre enlève mon caleçon. Il remarque évidemment mes fesses marquées.
-
Tiens, tiens, on a fait une bêtise ? on s'est fait corriger ? Regarde Anton, il a reçu sa fessée !
-
Dis-donc, t'as vu sa bite rasée Grégory ?
-
Laissez-moi tranquille ! je dois être debout tôt !
-
Pas de problème... Si tu ne dors pas, tu seras réveillé, me dit Grégory
Et là-dessus, il m'empoigne la bite et la tord dans tous les sens. Je me contorsionne et je me retrouve sur le ventre. C'est là qu'Anton me met un doigt dans le cul
- Dis-donc, le PD il est ouvert comme une femme !
Il enfonce plusieurs doigts puis les met à mon nez et m'oblige à les lécher sinon il me promet une correction. Je m'exécute donc... Avec des envies de vomir. Puis ils décident tous deux de m'enculer. Grégory me présente sa bite à sucer puis la met dans mon cul pendant que je dois sucer celle d'Anton. Quand enfin ils ont terminé, ils me laissent tranquille pour le reste de la nuit. Je vais au lavabo pour me nettoyer l'anus dégoulinant. Puis je retourne me coucher.
Quand je me réveille, je me demande où je suis, puis je me rappelle que je dois être dans le bureau du médecin à 6 h. Je regarde l'heure sur la pendule au-dessus de la porte, il est 6h20 ! je me lève d'un bond et je cours au bureau du médecin qui est déjà là. Il regarde sa montre
-
Tu es en retard !
-
Je sais, je vous demande pardon
-
Tu mérites donc une correction !
-
S'il vous plait, je me sens pas bien...
-
Baliverne ! tu viens ici immédiatement !
Le ton est ferme et je m'approche de lui. Il m'attache les bras dans le dos avec une corde et me menotte les mains. Puis il me f o r c e à m'allonger sur ses cuisses. Comme la veille, il me coince la bite entre ses jambes et m'assène des coups avec la main. Il frappe avec f o r c e mais s'arrête de temps en temps pour me caresser les fesses. Cette fois, je ne bronche pas, l'habitude sans doute... mais j'ai très mal... j'ai les fesses en feu. Quand il arrête, il me demande de rentrer dans un placard. J'y suis très à l'étroit mais j'arrive à me tenir debout, en baissant la tête. Je l'entends ensuite recevoir des mecs qui viennent en visite ou recevoir un médicament. Je ne bouge pas... puis je n'entends plus rien. Quand le placard s'ouvre à nouveau, le médecin a baissé son pantalon. Il me demande de le sucer. Il éjacule sur mon visage puis m'essuie avec mon caleçon qu'il me demande de remettre en suivant. Il m'annonce ensuite qu'il va faire ma prise de s a n g et qu'ensuite je pourrai manger. C'est sans ménagement qu'il m'installe sur le siège, il me détache les bras puis me plante la seringue. Je pousse un cri un peu étouffé. Quand il a terminé, il me donne une nouvelle chemise de nuit et m'invite à le suivre.
J'arrive dans une grande salle pleine de militaires qui déjeunent. J'ai le droit de prendre le petit déjeuner. Je trouve une place près d'un groupe de soldats qui se moquent de moi. Quand j'ai terminé, je rejoins ma chambre et j'attends, seul ! A un moment, un infirmier vient me chercher pour m'emmener passer un scanner. On doit prendre une ambulance pour aller à Bordeaux. C'est en chemise de nuit avec un caleçon salle que je fais le trajet. A l'hôpital, on m'installe sur une chaise roulante pour me diriger vers la salle. Je dois attendre un long moment avant de passer. Puis à nouveau, je dois attendre un long moment pour qu'on vienne me rechercher. Quand je rentre à l'hôpital militaire, mes deux compagnons ont fait leur bagage. Ils ont été remplacés par un jeune garçon plutôt timide qui est ici pour les mêmes rais!
ons que moi : un examen complémentaire. Il me demande comment ça se passe. Je n'ose pas lui dire ce qui est la vérité pour moi...
On discute un peu sans trop parler de sexualité. Il me dit s'appeler Victor, il a 20 ans comme moi mais semble vraiment en avoir moins.
C'est le soir et cette fois, on nous sert un repas dans la chambre. Le médecin entre dans la chambre. J'ai un mouvement de recul. Il s'adresse d'abord à Victor ; " demain, à jeun, lever 6 heures et dans mon bureau immédiatement ". Puis il se tourne vers moi : " pour toi, on attend les résultats, ça prendra quelques jours, en attendant, tu es mon invité ! " puis il quitte la chambre. Nous continuons notre repas.
-
Tu as déjà été dans son bureau ?
-
Oui en arrivant, tout à l'heure
-
Ça s'est passé comment ?Ça va être long ?
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Un examen sans plus...
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D'accord... moi il me fait peur ce médecin !
-
Oh non, il a été plutôt sympa
Le repas terminé, on ne sait pas trop quoi faire. On discute un peu puis on sort dans le couloir. Je ne suis pas trop fier avec juste un caleçon et une chemise de nuit... On trouve une salle où d'autres gars regardent la télé. Ça ne m'intéresse pas trop, il y a des mois que je n'ai pas regardé la TV
Victor m'entraîne alors dans d'autres couloirs. Il semble connaître les lieux. On arrive dans une salle où il y a des jeux de société et un ordinateur. On joue un moment puis on regagne la chambre. Victor se déshabille. Il se met à poil avant d'enfiler un pantalon de pyjama. Je remarque sa queue assez impressionnante et qui bande à moitié.
-
T'as l'air en forme, on dirait ?
-
J'ai pas baisé depuis une semaine !
-
Ta meuf te manque ?
-
Tu veux la remplacer ?
Je ne réponds pas à cette dernière question, mais je sens que le garçon timide prend de l'assurance.
- Tu veux me sucer ? ça me détendrait...
Encore une fois je ne réponds pas, je me mets dans le lit. C'est là que Victor s'approche. Il bande très fort maintenant et sa queue marque bien dans son pyjama. Et, sans pudeur, il vient me présenter sa queue à mon visage
- Allez, Cédric, soit sympa !
Je fais un peu le dégoûté, mais j'ai tellement envie que je prends sa queue par une main, je commence à le branler puis à le sucer...
- Dis-donc ! t'es un expert ! mieux que ma meuf !
Flatté, je continue. Puis il se retire et relève mon drap. Il me baisse le caleçon, voit que je bande.
- Je m'en doutais, t'es un p'tit pd !
J'arrête de le sucer, vexé. Mais il m'oblige à continuer, tout en me baissant complètement le caleçon. Il me met un doigt dans le cul !
- T'es chaud comme une chatte ! donne-la moi !
Il me retourne et me met la queue au bord du trou.
- Attends, j'ai une capote dans mon sac...
Il récupère un préservatif, me demande de lui mettre puis s'enfonce dans mon cul. Malgré l'épaisseur de sa queue, il rentre assez facilement. Il semble ravi et ne tarde pas à éjaculer. Il montre fièrement le contenu de la capote. Puis il me pose tout un tas de question sur moi : pourquoi je suis rasé, épilé, d'où je viens...
Je lui explique un peu ce qui m'arrive depuis un an. Il semble intéressé. Je lui explique par la même occasion ce qui m'est arrivé avec le médecin ici. Là il semble un peu plus effrayé parce qu'il a rendez-vous demain. Lorsqu'il retourne dans son lit, je me branle un moment puis je m'endors. C'est Victor qui me réveille vers 5 h. Il a sa queue bandée et veut que je le suce. Je m'exécute. Il se vide sur mon visage, assez satisfait de lui. Je m'essuie avec le drap. Il se douche, sans pudeur puis va à son rendez-vous. Je reste à nouveau seul dans la pièce. Quand Victor revient, je l'interroge. Il a juste fait une prise de s a n g . Il m'appelle maintenant le mytho. On somnole ensuite sur le lit jusqu'au petit déjeuner que l'on doit prendre dans une salle commune. Comme je n'ai toujours pas de vêtements, je refuse d'y aller.
Victor me ramène quelques petits trucs à manger. Je le remercie. Nous sommes en milieu de matinée quand le médecin vient me chercher. Nous allons dans son bureau. Immédiatement il me demande de me déshabiller et de mettre les mains sur la tête.
-
Comment se fait-il que tu refuses de te nourrir ?
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Je peux pas y aller à poil quand même
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Et pourquoi donc ? tu veux que je passe pour un b o u r r e a u auprès de Jacques ?
-
Bien sûr que non, mais j'aime pas les moqueries des autres
-
Tu es bien au-dessus du tout ça maintenant !
Puis il m'attache les mains et me remet dans le placard. Cette fois je dois me tenir à genoux. Le placard n'est pas très large et je suis obligé de me plier pour tenir à genoux, ce qui n'est pas très confortable. Il referme le placard à clefs et j'attends... J'ai l'impression de passer plusieurs heures dans cet endroit. Je passe par des périodes de chaleur, de froid, d'engourdissement, de faim... J'entends les bruits de l'extérieur : des visites, des soins...
Quand le placard s'ouvre, je m'effondre à terre. C'est le médecin qui me relève. Je suis tout engourdi et j'ai du mal à me tenir droit.
-
Je te croyais entraîné ? c'est Jacques qui va être déçu !
-
Je suis désolé ! j'ai mal partout ! j'ai faim, j'ai besoin de pisser...
Il me tend un verre et me dit de pisser dedans. N'en pouvant plus, je m'exécute. Mais le verre est très vite plein
- Bois-le pour faire de la place !
Je refuse. Ça me dégoûte ! il me f o r c e à ouvrir la bouche et me verse le contenu du verre à l'intérieur. J'en déglutis une partie et en recrache une bonne partie. Il me frappe les joues
- Tu n'es qu'un mal appris ! Regarde dans quel état tu mets mon bureau !
Puis il me donne une fessée comme la dernière fois. Il m'allonge sur ses genoux en me coinçant la bite entre ses jambes puis me frappe v i o l emment d'abord avec la main puis avec un magazine roulé. Cette fois je crie très fort pour que quelqu'un vienne me délivrer... mais personne n'arrive à mon secours. A un moment, quand il en a assez, il me balance à terre et me donne un grand coup de pied. J'ai très mal au ventre. Je suis plié en me relevant et ne sait pas quoi faire. Il me jette une serviette et me dit de sortir de son bureau. Je retourne dans la chambre, me met dans le lit et je pleure. C'est à ce moment que Victor revient.
-
Qu'est-ce qui t'arrive ?
-
J'en peux plus, je veux partir d'ici.
-
Moi je m'en vais ! je peux prévenir quelqu'un ?
Je lui donne les coordonnées de Jacques et lui demande qu'il le prévienne pour qu'il vienne me récupérer. Il me promet de le prévenir dès sa sortie. Il me serre la main et quitte la chambre. Je me retrouve seul... pas très longtemps, car le médecin entre à nouveau. Il ferme la porte à clefs et m'entraîne dans la douche. Il m'attache les mains à la douche et commence à me frapper les fesses avec un bâton. J'essaie de suivre ses mouvements pour esquiver mais il avait le beau jeu ! je criais, mais ça ne servait à rien. Il a mis la douche en route. J'ai reçu un jet d'eau froide qui m'a empêcher de respirer, et il s'est mis à pisser sur moi, visant mon torse, mes jambes... Il a recommencé à me frapper, sans raison puis a fini par me détacher.
- Demain, tu dégages ! je t'ai ramené tes affaires.
Cette nouvelle m'a rassuré. Mais j'avais très mal aux fesses et au dos. J'avais du mal à marcher. Quand il est sorti, j'ai pris une douche bien chaude. Il était trop tard pour le repas du soir et pourtant j'avais très faim. Rhabillé, enfin, j'ai cherché de quoi manger. J'ai trouvé quelques biscuits dans une chambre. Quand je suis revenu dans la mienne, Jacques était là. Je lui ai sauté au cou et je l'ai embrassé comme jamais.
- Alors, qu'est-ce qui t'arrive ?
Je me suis mis à pleurer dans ses bras. On s'est assis sur le lit. Il a essayé de me réconforter en me disant que j'étais exempté. Mais rien n'y faisait, j'avais trop mal. Je suis sorti avec lui, sans me retourner et nous sommes rentrés à l'appartement de Bordeaux.
Le voyage au Maroc
Sorti de l'hôpital militaire, et exempté du service militaire, ma vie reprend aux côtés de Jacques. Il est toujours aussi exigeant avec moi. Lorsqu'il part pour la journée, il me remet la cage pour m'empêcher de me branler. Le soir, si quelque chose ne lui convient pas, j'ai droit à une fessée.
Les jours passent : je continue d'étudier par correspondance. Je ne rencontre quasiment personne sinon que les copains de Jacques qui viennent pour l'attraction que je suis. Début novembre, je passe le permis de conduire et ouf, je l'obtiens du premier coup, ce qui m'évite une correction.
Jacques m'embauche alors dans son entreprise. Il souhaite que je sois son chauffeur, son secrétaire particulier. Pour cela, il m'a acheté un costume. Un très beau costume avec une casquette lorsque je conduis. C'est donc moi qui prends en main la BMW de Jacques. Je l'amène partout où il doit aller. Je l'accompagne parfois à son bureau. La jeune fille à l'accueil me regarde à chaque fois que je passe. Elle me sourit comme pour m'interpeler. Mais j'ai ordre de ne communiquer avec personne ! D'ailleurs c'est de plus en plus rare quand je rentre dans le bâtiment.
Chaque matin, avant de démarrer, Jacques m'indique quel sous-vêtement je dois porter et parfois, il m'ordonne de mettre " mon petit bijou ", ce godmichet qu'il veut que je garde toute une journée. C'est pas facile, surtout quand je suis assis pour de longues routes, mais je ne veux pas le décevoir.
Les mois passent... Avant l'été, Jacques m'annonce que nous devons nous rendre à l'étranger en septembre. Il me fait faire un passeport, les vaccins, sans m'indiquer où nous irons. Je passe avec succès ma licence et il m'inscrit aussitôt pour une maîtrise. Durant l'été, nous continuons à tourner dans les différentes boîtes qu'il dirige. Pas de vacances cette année ! je passe mon anniversaire au volant d'une audi, la nouvelle acquisition de Jacques. Il aura quand même une pensée pour moi, il m'offre un nouveau " bijou " : deux pinces à seins reliées par une chaînette. Je devrai porter ce bijou quand il le souhaitera.
Au mois de septembre, il m'annonce que nous prenons l'avion pour le Maroc. Il y a là-bas une entreprise à relancer et il veut que je m'en occupe avec lui. Si je réussis la mission, il me la cédera. Je suis aux anges ! Arrivés sur place, un chauffeur nous prend en charge et nous amène dans un hôtel à touristes. Belle chambre, piscine, sauna... Le rêve quoi !
Quelques visites dans l'entreprise qu'il veut racheter. Il me présente comme son associé ce qui me flatte beaucoup ! Ces interlocuteurs semblent un peu gêner de traiter avec un jeune mais mes connaissances de l'économie m'aident à les convaincre. Lors de notre dernière visite, il ne reste plus que quelques formalités avant les signatures. Jacques est très fier, moi encore plus ! Le soir nous dînons à l'hôtel puis il s'occupe de moi dans la chambre. Ce soir là j'ai droit à une soirée d'amour sans v i o l ence (ou presque) il joue avec moi, mon cul, me malaxant les fesses, m'embrassant la rondelle, m'introduisant sa langue, me titillant les seins. Puis il me pose mes pinces à sein ce qui me fait beaucoup d'effets ! il se laisse embrasser longuement, sucer. A mon tour je m'occupe de son cul, je sais que l'embrasser et le lécher longuement entre le sexe et l'anus le font grimper au 7ème ciel. Il jouit dans ma bouche, je jouis sur mon ventre et il me fait avaler le nectar, doigt par doigt. Nous nous endormons enlacés.
Lorsque le garçon d'étage frappe à la porte, nous sommes toujours enlacés. Il me cache sous les draps et l'autorise à entrer. La garçon dépose un plateau sur lequel il y a une missive. Lorsqu'il est sorti, Jacques lit la lettre qui fixe un rendez-vous pour la fin d'après-midi. Il est très heureux. Nous prenons une douche en nous caressant, puis je vais vers la piscine de l'hôtel. J'enfile mon maillot de bain rouge. Il s'agit d'un slip, Jacques ne voulant pas que je porte de short ou de bermuda. Ce maillot est à ma taille ! je prends un débardeur pour traverser l'hôtel et une serviette. Jacques ne voulait pas que je prenne un peignoir. Il aime me voir déambuler en slip. Je fais quelques longueurs. Je le vois m'observer à la fenêtre de la chambre, au troisième étage. Il a enfilé un short et un polo. Son bronzage ressort bien. Je le trouve superbe.
Après quelques longueurs, je sors de la piscine, enfile mon débardeur et m'allonge sur un transat. Jacques n'est plus à la fenêtre. Je suis alors abordé par un homme, de type arabe, qui me demande de le suivre, dans un très mauvais français. Il m'explique qu'il vient de l'entreprise et qu'il aimerait quelques précisions. Je lui propose de nous rencontrer dans la chambre, mais il me fait comprendre qu'il n'en a pas pour très longtemps et que nous aurons vite terminé. Je le suis donc, sans me méfier. Lorsque nous arrivons dans un endroit un peu retiré, où personne ne nous remarque, deux autres hommes arrivent sur moi et me bâillonnent. Le premier me lie les mains dans le dos avec du gros ruban adhésif puis les jambes. Ies trois me portent ensuite et me jettent dans le coffre d'un 4X4. Il y a déjà deux autres garçons qui semblent affolés. L'un d'eux est arabe, il porte une djellaba et il n'a pas de chaussures, tout comme moi. L'autre semble être européen. Il est habillé comme pour un jogging. Tous les deux sont bâillonnés et ligotés comme moi. Une bâche nous recouvre puis le 4X4 démarre, sans excès particulier comme si il ne craignait rien. La route me semble longue. Il fait très chaud sous cette bâche ! Je sue, mes compagnons de route également. Ça sent plutôt mauvais sous cette bâche un peu humide.
Le véhicule s'arrête à un moment. J'entends des voix mais je ne connais pas la langue utilisée. Visiblement quelqu'un fait le tour du véhicule, mais personne ne regarde sous la bâche. Je tente de remuer, mais je suis bloquer par les deux autres. Le véhicule reprend la route. Ça secoue pas mal ! il fait de plus en plus chaud !
Il s'est passé au moins deux à trois heures quand on s'arrête enfin. Un homme soulève la bâche et nous tire du 4X4, sans ménagement. Il enlève les liens des jambes et nous faire avancer vers une petite maison isolée. Nous devons être dans le désert, c'est la seule maison aux alentours. Il n'y a quasiment aucune culture autour, sinon qu'un petit plan d'eau et quelques petits arbres. L'homme nous enlève les liens des mains et donne un ordre en arabe. Je ne comprends rien mais le petit arabe qui est avec nous semble comprendre et je le vois lever les bras. J'en fais de même tout comme le troisième prisonnier. Il nous retire alors les baillons. Je le questionne pour savoir pourquoi je suis ici. Mais il ne répond pas à mes questions. Lorsque les baillons sont retirés, il nous fait signe de nous assoir dans un coin de la pièce. J'imite le petit arabe qui nous accompagne. Une vieille dame entre dans la pièce avec les bras remplis de linge. Un autre homme apporte une grande bassine et la remplit d'eau. La vieille dame s'adresse à notre compagnon arabe qui se met tout nu et entre dans la bassine. Elle le lave, lui demande de se sécher et lui remet une djellaba qui semble un peu grande pour lui. Elle lui arrive presqu'aux chevilles. C'est mon tour. Elle me fait signe, je fais comme mon compagnon. J'entre dans la bassine. Elle me lave, je me sèche, avec la même petite serviette déjà très humide et je reçois à mon tour une djellaba et une paire de sandales. La djellaba est un peu plus à ma taille. Elle m'arrive sous les genoux et je ne suis pas trop gêné aux épaules. C'est enfin au dernier compagnon à entrer dans la bassine pour le même cérémonial. Nous sommes ensuite amenés dans une autre pièce par un homme qui nous enchaîne, tous les trois ensemble. Nos pieds sont munis d'un bracelet en fer retenu par un cadenas, puis une chaîne nous retient tous les trois. On ne pourra pas courir, c'est sûr !. On nous sert du thé et des fruits secs puis la porte se referme.
J'interroge le petit arabe. Il parle français. Il s'appelle Younes, il est tunisien et s'est " ramassé " à la frontière, il y a trois jours. C'est la première fois qu'il mange depuis trois jours. Il est resté dans le 4X4 depuis tout ce temps. L'autre compagnon s'appelle Jimmy. Il est écossais. Il ne parle qu'anglais, très peu le français.
Younes est très volubile. C'est un jeune garçon de 18 ans qui voulait passer au Maroc pour travailler. Sa famille est très pauvre. Lui est plutôt mignon. Très brun, avec des grands yeux noirs. Il a les traits assez fins et s'il n'avait pas ses quelques poils de moustache et ses gros sourcils, il pourrait passer pour une fille. Il est petit, environ 1M65, mais assez costaud quand même. Jimmy, lui, est un peu plus grand, il doit arriver à peu près à ma taille, soit 1M80. Il a les yeux verts et les cheveux très blonds, et très courts. Il m'interroge sur mon absence de poils. Je lui explique succinctement ce qui m'est arrivé depuis ces deux dernières années. Lui était au Maroc en vacances, avec des amis. Il était sorti faire un jogging. Quelqu'un l'a abordé pour demander un renseignement puis il s'est retrouvé dans le 4X4, et ce la veille au soir de mon enlèvement. J'essaie de les rassurer en leur parlant de Jacques, que celui-ci allait tout faire pour me retrouver. Younes semble très inquiet, il dit que nous pouvons être vendu à de riches marchands, pour leur plaisir sexuel. Nous sommes très isolés et personne ne peut nous retrouver si nous nous enfonçons trop dans le désert.
Pendant tout ce temps, nous avons bu le thé, délicieux d'ailleurs, et manger les quelques fruits. Puis nous avons discuté de comment on pourrait s'en sortir... Personne n'avait vraiment d'idée. Jimmy voulait aller aux toilettes... Younes appela un gardien, en arabe. Il lui expliqua qu'on devait faire nos besoins. Le gardien nous apporta une bassine en plastique. Il en profita pour reprendre la théière tout en laissant les gobelets en métal. Il déposa également une cruche avec de l'eau et dit quelque chose à Younes. Quand il fut sorti, Younes nous annonça que la bassine était pour nos besoins et la cruche pour boire. Nous n'aurions rien d'autre avant demain.
Comme nous étions enchaînés, Jimmy dut se soulager devant nous. Il pissa longuement dansa la bassine. Sa queue était longue et fine. Il n'était pas circoncis ce qui intriguait Younes qui découvrait ça pour la première fois. Younes prit le relais. Sa bite était brune et assez épaisse. Elle n'était pas très longue et le gland était assez gros. Quand il eut fini de pisser, j'ai moi aussi pris mon tour. Je les voyais me regarder. Quand j'ai eu terminé, la bassine était presque pleine. On l'a mise à l'opposé de la petite pièce, puis on s'est remis, à terre. En fait nous étions enchaînés par les pieds, ce qui nous permettait de nous déplacer, mais uniquement ensemble. Nos mains étaient libres de leur mouvement. La pièce n'était pas meublée. Il y avait juste quelques coussins sur lesquels nous étions. A terre, c'était une sorte de lino en mauvais état, sans doute posé sur de la terre. Un petit plateau sur lequel étaient la cruche et les gobelets, c'est tout. Une petite ouverture laissait filtrer un filet de soleil. La porte par laquelle nous étions entrés était fermée à clefs et nous entendions des gens parler derrière cette porte. Il était donc inutile d'essayer de fuir.
Le jour baissait. Personne ne venait nous voir. J'étais entre mes deux compagnons de galère. Nous avons décidé de nous allonger pour essayer de dormir. Il fallait coordonner nos mouvements. Nous avons bu un peu d'eau puis nous nous sommes assoupis non sans évoquer chacun nos vies. Jimmy ne parlait pas bien le français, il le comprenait à peine, Younes lui ne parlait pas l'anglais ! je faisais les traductions. Puis nous avons fini par nous endormir.
Le matin, nous furent réveillés bruyamment par trois hommes qui voulaient que l'on se mette debout. Il ne parlait qu'arabe. C'est Younes qui montrait l'exemple. Lorsque nous furent debout, ils nous demandèrent de les suivre. Ils nous amenèrent à un lieu, péniblement à cause de nos chaînes. C'est là que nous pouvions faire nos besoins et nous laver sommairement, toujours enchaînés. Ce fut très gênant de devoir se soulager devant mes camarades et surtout devant les gardiens qui ne cessaient de nous regarder. Je les voyais sourire en nous regardant. Ils nous ont ensuite ramené à la cabane puis nous avons dû travailler : nettoyer de la vaisselle, trier des bouteilles... Younes nous a expliqué que c'était la condition pour manger. Le soleil commençait à chauffer vraiment, heureusement la pièce était plutôt fraiche par rapport à l'extérieur. La vieille dame nous apporta à du thé et des gâteaux. Le soir nous avons eu droit à de la semoule et quelques légumes.
L'un des gardiens est venu nous détacher. Il m'a emmené dans la pièce voisine où deux autres hommes étaient attablés. Il m'enleva mon vêtement et je me retrouvais nu devant ces trois gardiens qui très vite me touchèrent le ventre épilé. Puis ils me forcèrent à les sucer. Ils m'allongèrent sur la table, relevant mes jambes. L'un d'eux voulut s'enfoncer dans mon cul, mais je ne voulais pas. J'ai reçu une grande gifle, ce qui m'a fait m'abandonner. J'essayais de resserrer mes fesses pour qu'ils n'arrivent pas à m'enculer, mais c'était peine perdue. Les trois se sont relayés à ma bouche et à mon cul. Ils ont tous joui sur mon ventre, en prenant soin de tout étaler. Quand ils ont eu terminé, ils m'ont lancé mon vêtement et m'ont à nouveau attaché à mes camarades. Je devais sentir le sperme car Jimmy, maintenant au centre, me l'a fait remarquer. Je lui ai expliqué ce qui venait de se passer et j'ai remarqué que ça le faisait bander. La nuit était noire. Jimmy m'a demandé de le sucer. Sa bite était bien meilleure que celles des gardiens et j'ai avalé sans rechigner son sperme au goût sucré.
Notre captivité a encore duré quelques jours. Younes semblait de plus en plus inquiet, moi aussi je me demandais si Jacques faisait le nécessaire pour me retrouver. Chaque soir, je devais rejoindre les trois gardiens qui devenaient de plus en plus v i o l ents au fil des jours. Puis un matin, nous avons entendu une voiture. Younes a bien écouté ce qui se passait. On venait nous récupérer. Nous ravisseurs nous avaient vendu. Les craintes de Younes se réalisaient...
maurleo
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